Le Cloud computing
Exposé
III. Les inconvenient
Sécurité :
la plateforme cloud, si elle est externe (non installée sur le réseau interne ou avec une ouverture extérieure) doit être suffisamment sécurisée pour éviter le risque d’intrusion, de vol des données par piratage. L’autre risque est qu’un utilisateur oublie de se déconnecter sur un appareil accessible par des éléments externes à l’organisation. Il faut dans ce cas prévoir une déconnexion automatique en cas de non-activité du compte et bien segmenter les droits utilisateurs afin que ces derniers ne puissent accéder qu’aux données des projets dans lesquels ils sont impliqués. Plus généralement, une clause de confidentialité et la confiance dans son personnel sont primordiales pour que les données ne fuitent pas de manière volontaire.
Connexion :
c’est l’autre goulot d’étranglement. Si l’utilisateur n’a pas de connexion internet, ou une connexion insuffisante, il ne pourra accéder à sa plateforme de travail. L’idée dans ce cas est de permettre le travail sur un application locale qui synchronise ensuite les données avec le serveur dès que l’utilisateur a à nouveau accès au réseau. Le problème de la sécurité des données en local se pose donc à nouveau
Environnemental :
les serveurs du cloud computing demande un refroidissement pour un bon fonctionnement souvent par climatisation qui demande beaucoup d'énergie et cela augmente le réchauffement climatique car il fonctionne 7j/7 24h/24 sans interruption.
Quelques chiffres :
- 1 mail c’est 10g de CO2, soit une ampoule basse consommation pendant 1 heure.
- 1 data center de 10 000 m² consomme autant qu’une ville de 50 000 habitants.
- 1 arbre c’est 5kg de CO2 absorbé par an.
- 1 tonne de CO2 c’est 1 an de chauffage d’un appartement 3 pièces ; 14 000km de voiture ;
20 aller-retours Paris Londres en avion, 1 aller-retour Paris New-York.
- 1 internaute c’est 1000 requêtes par an, soit 287 000 tonnes de CO2 ou l’équivalent de 1,5 million de km parcourus en voiture.