La légalisation, commune à tout les pays ?
En FRANCE : La liberté d’expression est garantie par la constitution et encadrée par diverses lois, notamment la loi sur la liberté de la presse de 1881 et divers textes qui répriment la diffamation, l’injure publique, l’incitation à la haine raciale, etc. Il est loisible à chacun de préférer l’une ou l’autre approche de la question, mais dès lors que dans un pays démocratique, par exemple la France, les représentants du peuple souverain ont voté une loi qui en choisit une, cette loi doit s’appliquer et les contrevenants être sanctionnés.En RUSSIE : Avant 2009, Internet restait relativement libre en Russie mais ne touchait que 27 % de la population. Après 2009, la situation a évolué rapidement, comme dans toutes les régions du monde où progresse Internet. Les fournisseurs contrôlés par l'État tels que Rostelecom, «DOM.ru», et d'autres bloquent ouvertement les sites sur les matières exclues se trouvant dans la liste fédérale russe de matières extrémistes (Federal List of Extremist Materials) , en remplaçant les enregistrements Domain Name System (DNS) et en les redirigeant vers une page qui averti que « les matières et information que vous avez demandé a été reconnu comme étant extrémiste par le tribunal compétent» et en donnant une référence à la liste.
Au ETATS-UNIS :L’employeur peut être propriétaire du copyright de l’œuvre réalisé par son employé (« work for hire »). Le plus souvent, c’est toutefois le créateur de l’œuvre qui reste titulaire de ce droit. Par exemple, les maisons d’édition enregistrent les copyrights des œuvres qu’elles distribuent au nom de leurs auteurs.